Le récit de course de Thierry :

"Objectif atteint : minima pour les France des plus de 60 ans en poche ! ??

Le semi de Nevers, c’est 3 boucles de 7 bornes, alternant montées et descentes dans la vieille ville ??

Content de ma course, compte tenu de l’entraînement réduit à 3 sorties VTT hebdos d’une heure, à partir de fin août (élongation cuisse gauche) jusqu’à début octobre.

C’est donc tout sauf serein que je me suis aligné à ma 1ère compétition depuis 2 ans ??

Parti prudemment (par 5 degrés !) autour de 4’30’’ au kilo, je suis passé en 45’15’’ aux 10 bornes, puis 1h07’52’’ au 15 km. Après, il n’y a pas eu de secret : le manque de sorties longues s’est fait sentir à partir du 16ème km, et j’ai bien galéré sur les 3 derniers km, en perdant pas loin de 2’. Au final, 1 heure 37 minutes et 18 secondes pour 1 heure 40, les minimas ! J’ai senti la cuisse un peu sur la fin, mais c’est passé ! ???? 

Repos maintenant, et hâte de vous retrouver dimanche dans la presqu’île pour le footing dominical !"

Pascal au semi-marathon de Chartres

"Seule course ou j'avais conservé mon inscription, initialement prévue le 8 mars 2020 et reportée en mars 2021, puis en septembre 2021

Plus de 2.300 concurrents sont au départ des trois courses au programme de la matinée. 5 km, 10 km, et semi

Parcours modifié, une partie passant désormais dans Chartres, roulant, avec quelques passages sur des pavés, sur 2 tours. Soleil et température idéale. 900 coureurs sur le semi-marathon, avec les encouragements de nombreux spectateurs particulièrement dans Chartres

Pas de forte motivation pour cette course, et mal placée dans mes sorties.

Pour autant, je me suis calé sur les meneurs d'allures 1h40, pour passer devant au 15ème km, me demandant si je ne commettais pas une erreur."

Le retour des sensations de course (par Pascal) :

"Aujourd'hui, mon 9^ème Marvejols-Mende. C'est un peu comme Auray-Vannes, course en ligne, mais avec 2 cols à franchir... Mon meilleur temps de 1h45'51, à 35' du vainqueur, en 1997, au milieu de 4500 coureurs. C'était au siècle dernier...

Crise sanitaire oblige, nous n'étions guère plus de 1300 aujourd'hui.

 Ce dimanche, le défi est double :

-          Arriver au bout, me dire je l'ai encore fait, et avoir ma 9^ème médaille offerte à tous les arrivants.

-          Faire 2h25 pour valider ma participation aux championnats de France de trail court en septembre prochain.

 La course : épreuve toujours difficile, on attaque la côte au 5-6 km, la pente est à 10-15%, mais le maillot d'Athlé-Rhuys passe à 1022 m d'altitude... , la descente est à l'identique, je dévale, mais il y a un long faux plat et on remonte. Douleurs sous les pieds, je ralentis, j'arrose les chaussures. La seconde descente est très difficile, je souffre. Je passe la ligne, je récupère la médaille, elle est belle, le chrono n'est pas super, mais je valide ma participation aux prochains championnats de France de Trail court, j'aurai moins mal aux pieds, même si c'est plus long..."

Mon Pier'fit tour :

"Ma 4ème participation sur la distance courte. Départ prudent, traversée des installations du barrage, mais pas le temps de vérifier si tout fonctionne, je n’ai pas pris mes outils. Remontée sur la crête, et une dizaine de km de montée (300m D+), à travers bois, monotrace et sur chemins. Participation modeste, 170 coureurs, ce qui fait qu'à partir du 6ème km, on court seul. Je force pour rattraper quelques concurrents, et après 10 km, descente jusqu'à l'arrivée, mais au douzième, la pente est raide, 200m de D-, d'abord dans les bois, puis sur route sinueuse et du gravier, puis final en ville. 57ème, 3ème M6 sur 4.., en 1h36'13...Le temps et la place sont corrects pour moi.

Accueil et ambiance sympa. Ravitaillement copieux, pain, saucisson, fromage, fruits... mais l'engagement est à 18€, un peu coûteux pour le t-shirt...

Prochaine course le 25 juillet, "LA course de légende". Si vous voulez connaître son Histoire : https://www.marvejols-mende.org/souvenirs/historique/ Un chrono autour de 2h25 validerait ma participation aux CF de Rouffach en Septembre."

Les sensations de course de Pascal :

"Ce n'est pas les 100 km du golfe, mais plus modestement les 10 km des grenouilles, course sur route et chemin, presque plat, sous la pluie. Participation modeste pour la reprise des courses dans la région. 136 coureurs, j'en termine 84ème, 2ème M6 sur 5, en 53'48, à 16 secondes de ma précédente participation, en 2018, mais très loin de mon record de 47'55 en 2017. J'ai pris un coup de vieux pour ce genre de course rapide. Mon cardio affichait 180 pulsations la plupart du temps. Je vois que les amis qui couraient sur l'Ultra Marin ont bien terminé...

Samedi prochain, 10 juillet, Trail Aquaterra à Bort les Orgues..."

Le trail d'Auray vécu par Pascal :

"Parcours vallonné, il faut relancer très souvent, un peu trop de bitume, 200 coureurs, bonne participation, on est toujours en groupe. La chaleur et l’absence d’un ravitaillement liquide ont rendu l’épreuve difficile, à partir du 12ème km, et j’ai terminé avec un peu de déception, mais pour une reprise après 9 mois sans compétition, c’était une bonne course. Et pour une première avec le maillot du club, c’est correct, surtout après la sortie de Pen Castel..."

Récit de course par Matthieu :

"De jolis raidillons sur les bords de l'Yon ! Un très joli parcours globalement roulant, et techniquement pas trop compliqué.

Mais contre-perf ce matin pour moi : Crampes, manque d'entraînement, fatigue... Bref je ne me suis pas illustré ! Mais je ne suis pas le seul : d'après les organisateurs, les chronos moyens affichent 15 mn de plus que d'ordinaire sur le même parcours suite à cette saison très particulière. 

Un grand bravo à l'organisation d'avoir organisé cet événement dans ce contexte ! C'était bon de retrouver l'ambiance course !"

Le récit de course de Pascal : 

"Quel plaisir de renouer avec la course à pied en compétition. Ma dernière course datait du 1 Mars, c'était le 15 km d'Arradon. Le semi de la Juine (petit cours d'eau) emprunte de petites routes sympas sur une boucle ; pas plat et avec 2 difficultés.

Pour cette édition, le vent s'est invité ; nous l'avons eu pleine face après la 1ere côte pendant 4 km. Nouvelle difficulté au 14ieme km avec également du vent en haut de la côte, mais cette fois dans le dos cela va tout de suite mieux !

Une organisation au top malgré le contexte."

On refait le match par Jacques :

"Nous étions 8 à participer au trail de PLouhinec.

Grosse organisation et participation importante,  plus de 1500 partants entre les 3 courses et la marche.

Pour notre club, très bons  résultats qui auraient pu être encore meilleurs pour Romain, Alice et Gérard s'ils s'étaient mieux placés au départ ; rester avec les seconds couteaux du club n'est pas la meilleure solution. Nous étions tous contents de nos prestations  sauf Florence qui craque sur la fin mais c'est normal pour une reprise"

La course vécue par Alice

"Je ne m'attendais pas à un parcours nature et vallonné ... je suis partie un peu vite et après quelques kms dans les bois, j'ai ralenti la cadence, j'étais presque cuite ! J'ai laissé  passer une concurrente et suis restée à la troisième place le reste du parcours. C'était la première fois que je faisais une course l'après-midi, la prochaine fois je mangerai moins le midi ! Je suis très contente malgré tout de ma performance. Lors de la remise des prix, j'ai invité les coureurs de la salle à venir nombreux à la Corrida verte de Sarzeau."

Le marathon vécu par Denis

"Départ à 9h30 accompagné de Jacques, Gérard et Gaby. Après 1 km on s'éloigne avec Gaby et je prends son rythme, sachant Gaby aguerri sur ce genre de distance. Nous voilà à une allure raisonnable pour moi jusqu'au 18ème km ; Gaby me dit de prendre mon rythme réel et là je m'applique une allure que je sens facile. Les ennuis commencent au 30ème km, une douleur progressive envahie mon genou droit. Je continue en me massant de temps en temps. Nathalie et Lionel m'attendent au 34ème km pour m'accompagner. J'arrive à leur hauteur et leur explique mon cas. Impossible de courir et je fini en marchant sur les 8 derniers km avec Lionel et Nathalie. J'ai mis un point d'honneur à le finir. C’est dommage car j'avais de bonnes sensations, donc je redonne rendez-vous en 2020 à ce marathon de Vannes.

J’y arriverai un jour, j'y arriverai… promis !!!!!!!!!"

Le récit de Thierry :

"J’avais dit que je le ferai je l’ai fait ! C'est tout...

Un chrono conforme à l’état de forme actuelle du bonhomme, 1h38’49. Bref moyen... pas de sensations si ce n’est des cuisses lourdes dès le 5ème km.

2ème partie de course plutôt chaud ??.

Même pas déçu mais je crois qu’une coupure complète de 8 jours s’impose... 

Suis parti plutôt cool autour de 4’30 au kilo et ça a tenu environ 13 bornes.

Après, le manque de sorties longues et de fractionné m’a fait galérer... normal... j’ai perdu 3’ sur les 8 dernières bornes.

Prochaine course : eikiden du circuit de Magny-Cours le 26/10 en nocturne."

Récit de course par Patrick :

"Nous nous sommes décidés la veille, je voulais faire cette course depuis longtemps car on m'avait dit que le parcours était superbe. Un trail d'un peu plus de 17km pas facile avec de nombreuses côtes et beaucoup de marches, de très beaux chemins en sous  bois et le long de la rivière. Au final je fais 38ème en courant cool, 1h29'. Evelyne qui pensait qu'il n'y avait que 8km a vu au départ que c'était 9 et au final le circuit faisait plus de 10km mais elle a bien assuré en terminant la course très fraîche sans prétention mais pas dernière. En résumé une belle balade dans de beaux paysages avec un temps frais bien loin de la canicule."

Le récit de Thierry :

"Hier soir avait lieu l’urban trail de Nevers sur 10 km dans la vieille ville. Cette course s’appelle « La moustache » et tout le monde (ou presque) porte le même maillot marinière bleu pour apporter son soutien à la ligue contre le cancer (voir photo du départ).

1 550 marches au programme paraît-il ?... Ça a piqué un peu dans les remparts mais c’est passé ! 632 au départ, 541 à l’arrivée et une 86ème place pour moi. Et les Master 2 devait être déjà couché, car je suis étonné de faire 3ème ! "

Le récit du trail d'Auray par Alice :

"Pour ma part je me suis régalée sur ce trail, j’ai ressenti les effets bénéfiques du fractionné de ces derniers mois. Un trail ludique et assez technique avec des cotes plus ou moins pentues et un terrain accidenté ( en sous bois présence de racines, pavés et quelques marches) et de beaux paysages notamment sur le port de saint Goustan. 

Je suis d’autant plus satisfaite avec un podium à l’arrivée!!!"

Le récit de Matthieu à J+1 :

 "Un peu de douleurs aux cuisses ce matin. Une course très technique et très difficile, cassante et sélective. Il faut gérer les dénivelés, les passages dans la neige et la chaleur dans les vallées. Le tout dans des paysages exceptionnelles."

Le récit de Thierry :

"1h38'19" pour les 21,1 kms avec une 43ème place au général sur 180 arrivants et une 6ème place dans ma catégorie Master 2. Satisfait de rester dans le premier quart des arrivants, sans pavoiser...

Ça y est, je suis classé FFA pour le club ! Une perf D5 et celle-ci D4.

Parti sur les bases voulues (4'30" - 35" au kilo), je passe en 45'50" au 10 bornes (50" de retard seulement).

3 jolis tours de 7 kms dans le centre-ville de Nevers et sur les bords de Loire, avec un profil plutôt marqué dans quelques rues. Je me suis retrouvé avec un groupe de 5-6 (jeunes ! 😂) coureurs pour lequel j'ai mené (trop souvent à mon goût) la cadence. En revanche, temps et température parfaits !

Il m'a manqué 3-4 bornes pour faire 1h 35' - 1h 36' : je perds 1'30" là... De bon augure tout de même pour le semi-marathon de Deauville en novembre prochain : avec ce chrono, c'est la qualification aux France assurée en master 3 ! 

Prochaine course : la moustache-urban trail de Nevers le 8 juin, 10 km dans la vieille ville avec 1 500 marches annoncées…"

nocturne NaturaXtrem de Séné. Récit de Gaby :

"Pas question d’être en retard et de rater le départ. Pascal et moi sommes en tenue, sautons dans la voiture et direction Séné. Il est 18 h. Le soleil se couche. Parking, attente … Voilà ce que c’est d’être en avance ! Départ de la course prévu à 19h30. Ouverture du stand pour le retrait du dossard. Qu’est-ce que tu préfères : T-shirt (éternel), ceinture porte-dossard (j’en ai déjà 2), serre-tête/serre-cou/bonnet (le même truc mais tout en un). J’opte pour le dernier truc miraculeux car j’ai donné celui que j’avais déjà. Ça se présente bien. La nuit est tombée. Le temps est dégagé. Pas de pluie. Il fait froid. Reste plus qu’à s’arnacher : gants, bonnet, lampe frontale. Où est le couteau pour faire les trous et fixer ce foutu dossard ? Trouvé ! Pascal a tout ce qu’il faut. Prévoyant je suis : 2 ceintures porte-dossard, 2 lampes (toujours une roue de secours). Sur place on se retrouve avec Francis (celui qui n’est jamais pris au dépourvu), Philippe (c’est sa première), Pascal (on ne lui en compte plus). Arrive Patrick (il passait par là, s’est inscrit sur place). Patrick a emprunté une lampe frontale. On regarde comment elle marche … Le bide, elle éclaire à 2 cm. Ce n’est pas avec ça qu’il verra grand-chose !« Tant pis je courrai sans lampe ». Nuit noire, nouvelle lune. Difficile ! Je lui prête une frontale en état de fonctionnement.

19h30 : briefing de l’organisateur sur les caractéristiques du parcours et l’itinéraire. 10,4 km à parcourir. C’est indispensable surtout quand tu ne connais pas le coin, que la nuit est noire, que la présence des étoiles ne peut te servir de guide. On allume les lampes.

Top départ. Nous nous ruons tous hors de la salle de sport, en paquet, direction les chemins. Au départ, très roulant, sentier large, ensuite ça se rétrécit. C’est propre. Puis un peu mouillé, des flaques, un peu gras. On arrive à la cale de Barrarac’h, puis escaliers, ensuite Port-Anna et on descend sur le sentier côtier. C’est gras, de plus en plus gras. Les flaques et les pataugeoires se multiplient. Ça glisse de plus en plus. Tout le monde patine, quelques-uns glissent, d’autres se vautrent. Tout cela dans le noir. Les groupes ressemblent à un nuage de lucioles, les solitaires méditent sur leur chrono, leur moyenne, le temps restant, ce qu’ils sont venus faire ici…

Ah, enfin des lumières ! La salle de sport est en vue. L’arrivée est à l’intérieur. Passage sous l’arche. Tout le monde est content d’être arrivé ou de voir enfin arriver l’oiseau de nuit.

Patrick conclut : « je suis content de ma course malgré 2 chutes : une glissade dans la boue et le trou juste avant l’arrivée que je n’ai pas vu. Qu’est-ce que j’aurai fait sans la lampe ? »

Bilan : une course super sympa, simple, bien organisée. Un parcours bien balisé. Une nocturne c’est magique. Il faut en faire au moins une dans sa vie !

Alors, à l’année prochaine !"

Le marathon selon le Père Choir : 

"Nous sommes partis à Reims comme pour un pèlerinage : Comme j'avais fait les deux marathons du printemps avec la soutane du Père Choir, la suite en Champagne était religieuse aussi.

Tandis que j'accompagnai frère Patrick dans son chemin de croix ( il est croyant en matière de course à pieds , mais pas pratiquant ) , frère Jacques , en missionnaire , ouvrait la voie devant nous .

Hélas , nous le retrouvons au 30ème kilomètre , plein de douleurs et au bord de l'abandon ; je parviens à convaincre Frère Patrick de ne pas l'imiter et de s'accrocher pour épater sa famille ce qu'il a réussi à faire et a rempli son cœur d'allégresse ! Sur le dix kilos, pendant ce temps là , Sœur Aline , imitant le fils de Childéric 1er, était couronnée à Reims dans sa catégorie ! 

Une belle aventure de plus !"

Les impressions d'Aline après sa performance :

"Depuis 2 ans que je suis V4, j'ai souvent été première, mais j'étais la seule dans ma catégorie !!

Cette fois, je suis première sur 8 !

Course très agréable dans Reims intra-muros sous un soleil radieux - et bien sûr le champagne était là en guise de récompense."

"Donc me voici au départ de mon premier marathon. Comme tout athlète de haut niveau, je me suis fait accompagner par mon chauffeur (ma charmante  épouse Rose). Température excellente et bonne ambiance au départ, je rejoint Florence, Stéphane et Bertrand. Eux se positionnent avec les donneurs d'allure fixe 4 heures.

Je recule avec les 4 h 30.

Départ avec un feu d'artifice tiré des remparts. Les premiers 10 kilomètres se font à 10 à l'heure.

Ressenti moyen, presque une petite forme. Arrive les 15 km et là, une espèce d'euphorie s'empare de moi et le train est bon,allure facile.

Je passe le semi en 2 h 05, toujours bien mais je n'ose pas accélérer de peur de me détruire pour la suite. Arrive le 31ème km, j'aperçois Patrick Jugan à un poste de contrôle qui m'encourage en me disant "dernière ligne droite il ne reste plus que 11km !!!!!!!!!!!!!"

C'est là que ça se gâte, plus la même énergie et les papattes commencent à être très dures.

Aux derniers ravitaillements, je prends mon temps pour finir au mieux ce challenge. Beaucoup d'encouragements tout le long du parcours. Au 37ème km, Bertrand me double ; je l'avais doublé auparavant au 16ème. Enfin le stade où m'attend la petite famille, "Allez Denis ! Allez papi !!!!!!!!!!"

Qu'il est long ce dernier tour de piste et je passe cette fameuse ligne d'arrivée que j'attendais depuis si longtemps avec une petite émotion, en 4h40. Le jour même je me dis c' était mon premier et le dernier marathon mais le lendemain je dis que j'en ferais d'autres."

Denis